Au cours de mes pérégrinations et billebaudes je suis souvent témoin
de ces scènes, qui pour cruelles et morbides qu'elles puissent paraître
n'en sont pas moins naturelles, et répondent à la grande question :
manger ou être mangé. En voici donc quelques unes (il y aura une suite)
et dans la mesure du possible j'ai légendé les images avec selon le cas
le nom du mangeur, celui du dévoré, ou les deux...
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| Orthetrum cancellatum, les femelles, comme ici, sont de redoutables prédatrices... |
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| Crocothemis erythraea, mâle, au menu une mouche ? |
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| Aesh na cyanea, Aeschne bleue dévorant Lasiomata megera, une Mégère |
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| Cet Asilidae a mis Ischnura elegans à son menu... |
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| Coup double pour cette Epeire des roseaux avec un tandem de Coenagrion puella, Agrion jouvencelle |
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| Orthetrum cancellatum, mâle immature dégustant un papillon... |
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| Argiope frelon dégustant sans doute un Onychogomphus forcipatus, Onychogomphe à pinces |
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| Ici, c'est madame O. forcipatus qui se met à table... |
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| Epeire des roseaux, encore elle, et Ishnura elegans, encore lui... |
Oh, j'adore, quelle brochette de prédateurs / Proies, une très belle compilation, bravo Maurice !
RépondreSupprimerMerci Alain ! La vie au grand air, ça creuse ! 😉 Cdlt, M. =ï=
SupprimerOuh la la ! À quand un livre sur la gastronomie des odonates (c'est tendance !).L'Asilidae est, pour moi, la plus impressionnante. Merci Morikan, c'est tellement intéressant de découvrir les vies de ceux qui sont trop souvent oubliés... @(=)@!
RépondreSupprimerMerci Marina ! L'Asilidae est impressionnante aussi pour ses victimes : c'est une tueuse ! Cdlt, M. =ï=
SupprimerTrès impressionnante cette série, j'aime beaucoup ce thème "manger ou être mangé"! Parfois on n'ose pas publier les clichés mais c'est dommage car je trouve très intéressant de savoir qui mange quoi.
RépondreSupprimerTes clichés sont superbes.
Bonne journée Maurice.
Merci Florence ! Oui c'est un peu délicat de proposer ces images, mais c'est la loi de la nature, et quand le mangeur est à son tour mangé, la morale est sauve, ou presque... Cdlt, M. =î=
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