Encore l'automne...

 

Sympetrum striolatum

Sympétrum strié

 

On pourrait le croire, au vu de certains jours récents plutôts maussades,

mais non, nous sommes bien au printemps, et si les conditions météo

deviennent plus clémentes, pas la moindre émergence qui viendrait

lancer le début de saison, donc retour au disque dur, où heureusement

quelques clichés sont encore bons à sortir de l'oubli...

Images d'août et septembre 2020.

Premières sorties...

 

Sympecma fusca

Brunette hivernale

 Après les premières sorties d'hivernage voici plus d'un mois, voici

enfin les Brunettes sur leur lieu de ponte, en l'occurence l'étang voisin,

pour la grande affaire de leur longue vie, longue par rapport aux autres espèces

n'hivernant pas... Pas moins de deux douzaines aperçues, entre mâles en quête

de compagne, tandems et quelques pontes. Pas d'images d'anthologie,

toujours perchés au dessus de l'eau, pontes obligent, et sur des supports

pas forcéments photogéniques... Et on constatera qu'elles n'ont rien perdu 

de leurs facultés de mimétisme... Images du 23 mars 2021.

Automne ou presque...

 

Sympetrum striolatum

Sympétrum strié

 

Presque de l'automne si l'on se fie à la date, puisque datés du 28 août

et du 1er septembre, complètement de l'automne quant aux coloris.

Et curieux retour des choses, photographiés alors que je cherchais plutôt

Aeshna cyanea sur des orées où elle prospérait les années précédentes,

je vous les propose aujourd'hui alors que je ne ne trouve encore aucune

libellule modèle 2021. Les voici donc, pratiquement que des femelles,

juste deux mâles en 7 et 8.

Onycho, Coco !

 

Onychogomphus forcipatus

Onychogomphe à pinces

 Certes ils étaient nombreux en 2020, sans toutefois parvenir

à faire oublier leurs cousins absents, Gomphus simillimus et G. graslinii.

Mais ils sont toujours agréables à croiser, parfois durs d'approche,

d'autres fois non, souvent préférant la pose au sol, surtout quand

le temps est gris ou venteux. Mais ils faut toujours les regarder de près,

au cas où leur faux frère, Onychogomphus uncatus, se serait glissé

parmi eux. Bref une histoire de famille. Femelles en 6 et 10,

images de mai à juillet 2020,

.

Des Pennipattes, oui mais...

 

Platycnemis pennipes

Pennipatte bleuâtre

 

Oui mais j'ai bien failli oublier de vous les présenter ! Ils ne sont pourtant

pas rares, loin de là, et on peut même dire qu'ils peuvent être un excellent

"sauve  bredouille" quand d'autres espèces se dérobent. Par contre leurs cousins

P. acutipennis n'ont pas croisé ma route la saison passée, souhaitons que

ce ne soit que partie remise. Qu'hommage donc soit rendu aux délicats

Pennipattes à travers ces quelques images, de juin et juillet 2020.