mardi 27 février 2024

Cordus du ru...

 


Cordulegaster boltonii boltonii
Cordulégastre annelé

 Une bénédiction, ce minuscule ruisseau à quelques centaines de mètres
de la maison, entre prairies à vaches et champs de maïs, et semble-t-il issu
d'une source au fond d'un bosquet touffu... Les Cordulégastres y sont chez eux,
toujours trois ou quatre sujets sur les cinq ou six spots accessibles, tant les rives,
trois cent mètres au mieux, sont envahies de végétation. Les Calopteryx virgo
y sont aussi présents, ainsi que, de passage, Orthetrum brunneum
et Libellula depressa... Images du 21 août.















jeudi 22 février 2024

Ces dames en collation au jardin...

 


Sympetrum striolatum
Sympétrum strié

 Retour aux visiteurs de l'automne, plutôt aux visiteuses, avec ces quelques
femelles venues se restaurer sur le bassin du jardin... Pas que se restaurer,
j'espère, et que ces grignotages n'auront été que la conclusion d'une activité
consommatrice d'énergie, la reproduction, à laquelle je n'ai pas pu assister...
Rendez-vous avec la génération suivante l'été prochain ? La masse
métallique rouillée est en fait un reste du levier de l'ancien pressoir
à pommes, où est installé le bassin.
Images du 5 septembre 2023.













samedi 17 février 2024

Strios sauvages...

 


Sympetrum striolatum
Sympétrum strié

 D'autres sauvages, et mes derniers sauvages de la saison, capturés
les 4 et 9 octobre. De belles journées d'automne, mises à profit pour
pour s'adonner à leur unique finalité sur Terre : se reproduire. 
Quelques semaines de vie aérienne, au mieux, après quelques mois
ou années de vie larvaire dans ce seul but : perpétuer l'espèce.
Au lac du Gast, dans le Calvados voisin.











vendredi 9 février 2024

Et ça continue, encore et encore...

 


Cordulegaster boltonii boltonii
Cordulégastre annelé

 Toujours des Cordus, d'accord, d'accord ? Est-ce que 2023 peut,
dans mon coin de Basse-Normandie, être qualifiée "d'année à Cordulégastre" ?
Il faut dire, qu'outre un caractère facile se prêtant aux incursions des photographes,
l'espèce se cantonne à un milieu bien précis, petits ruisseaux, forestiers ou non,
de préférence vifs et chantants, donc les susdits photographes savent où le trouver,
même si je l'ai souvent rencontré dans des allées forestières ou des friches,
et pas seulement en période de maturation... En voici donc quelques uns,
venus de mon ruisseau voisin au mois d'août, avec même une femelle en ponte,
dans un cadre hélas très chargé, mais comme disent les vieux Normands
"à cheval donné on ne regarde pas la denture"...

















dimanche 4 février 2024

Striolatum en duos (à la plage)...

 


Sympetrum striolatum
Sympétrum strié

 Des sauvages cette fois, et même des très sauvages, car le Lac du Gast
était ce jour là à son marnage le plus bas, découvrant de large plages
n'offrant au photographe que peu de possibilités de se dissimuler,
autant dire que ces couples, des dizaines voire plus, étaient
difficiles d'approche, d'où ces cadrages... larges.
Images du 09 octobre 2023.